Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc :
L'avis du Guide Hachette des Vins 2014
À la fin du XIXes., les vignes entourant Châlons-en-Champagne, qui ont aujourd'hui cédé la place à la ville, étaient réputées, et une dizaine de maisons de champagne avaient pignon sur rue dans la préfecture de la Marne. Il ne subsiste plus désormais que celle-ci, fondée en 1825 par Joseph Perrier. Elle est présidée par Jean-Claude Fourmon, l'arrière-petit-fils de Paul Pithois qui avait pris le contrôle de l'affaire en 1888. La maison débute la commercialisation de ses 2004, une récolte abondante après le chiche 2003. Deux bruts de ce millésime ont reçu une étoile. Cette cuvée de prestige, mi-chardonnay mi-pinot noir, au nez très aromatique, encore frais, et à la bouche bien équilibrée entre puissance et finesse. Sa fraîcheur conviendra à l'apéritif ou au début du repas. Mariant deux tiers de noirs (61 % de pinot noir et 6 % de meunier) et un tiers de blancs, le rosé 2004 (50 à 75 €) s'habille d'une robe saumon clair à laquelle répond un nez discrètement parfumé, sur les fruits rouges surmûris. Le palais montre une puissance contenue par une acidité tonique. Il s'accordera bien avec la cuisine méditerranéenne ou asiatique. La Cuvée royale (20 à 30 €), qui privilégie elle aussi les noirs (65 % des deux pinots), est citée pour son fruité gourmand et pour sa bouche ample et acidulée. Un champagne d'apéritif. (NM)
Détail du vin
Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc
Quelle note du Guide Hachette le vin Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc a-t-il obtenu ? Dans quelle édition a-t-il été noté ?
Le Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc a obtenu la note de 1 étoile, ce qui correspond à un vin très réussi.
Ce vin a été noté dans l’édition 2014 du Guide Hachette Vins.
Comment est élevé le vin Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc ?
Ce vin est élevé en cuve.
À quelle température est-il recommandé de boire le vin Joseph Perrier Cuvée Joséphine 2004 blanc ?
Nous recommandons de servir ce vin à une température comprise entre 08 °C.
COMMENTAIRE