Gratien et Meyer

Voilà une belle bulle à la fois tonique et fondue, avec un fruité riche (groseille, cerise), du caractère et de la persistance. Un classique du genre, à déguster à l'apéritif ou à table. ...

Dès 1864, à peine âgé de vingt-trois ans, Alfred Gratien a misé sur les vins effervescents: il a acheté près de 10 km d'anciennes galeries d'extraction de la pierre et fondé sa maison. Dix ans plus ta ...

Alfred Gratien n'avait que vingt-trois ans lorsqu'il créa en 1864 sa maison de vins à Saumur. A sa mort, Jean-Albert Meyer reprit l'entreprise qui fut rebaptisée Gratien et Meyer. Le succès est encore ...

Fondée en 1864 par Alfred Gratien alors qu'il n'avait que vingt-trois ans, cette maison a été reprise en 1885 par Albert Meyer. La cuvée Flamme, en rosé, provient d'un assemblage des cépages cabernet ...

Une jolie bulle rosée, fraîche et fringante, portée par de belles notes de fruits exotiques, de fruits rouges, de cassis et d'épices. Généreuse, elle offre beaucoup de caractère et sous-entend une bon ...

Ce rosé à base de pinot noir et de cabernet franc, rafraîchis de chardonnay et de chenin, compose une jolie bulle, aux notes fruitées intenses. La fine effervescence et l'équilibre juste offrent un pl ...

Parée d'une belle robe jaune pâle animée par des bulles fines et persistantes, cette cuvée se montre intense au nez avec ses notes de rose, de litchi et de pêche. Tout aussi agréable, la bouche, fraîc ...

Fondée en 1864 par Alfred Gratien et reprise à sa mort, en 1885, par son associé Jean-Albert Meyer, cette maison saumuroise est bien connue pour ses effervescents, qu’elle vinifie dans d'anciennes gal ...

Cette maison, créée en 1864 par Alfred Gratien, est aujourd'hui l'un des plus importants négoces producteurs d'effervescents de la région. Les 6 km de cave creusés dans le tuffeau offrent des conditio ...

En 1864, Alfred Gratien, âgé de vingt-trois ans, fonde sa maison à Saumur ainsi qu'une autre en Champagne. Lorqu'il meurt en 1885, son associé, Jean-Albert Meyer, prend les rênes de l'affaire qui devi ...

De Saumur à Épernay, Alfred Gratien a investi à fond dans les vins effervescents, fondant en 1864 deux maisons où figure encore son nom. À sa mort en 1885, son associé Jean-Albert Meyer a pris les rên ...

La maison Gratien-Meyer a été fondée à Saumur en 1864 par Alfred Gratien, alors âgé d'à peine vingt-trois ans. Elle se forgea une réputation grâce à ses vins effervescents de qualité, tel ce crémant l ...

Chenin blanc et pinot se partagent une moitié de l'assemblage, tandis que le chardonnay récolte l'autre. Le nez s'ouvre discrètement sur les notes de fleurs blanches, tandis que la bouche est marquée ...

En 1864, Alfred Gratien, âgé de vingt-trois ans, fonde sa maison à Saumur. À sa mort en 1885, son associé, Albert Jean Meyer, prend les rênes de la société qui, sous le nom de Gratien & Meyer, devient ...

Sous l'étiquette Château Gratien, la maison saumuroise Gratien et Meyer, fondée en 1864 et bien connue pour ses effervescents, vend des vins tranquilles, comme ce coteaux-de-saumur. Or paille, ce 2004 ...

La célèbre maison saumuroise Gratien et Meyer, fondée en 1864, ne produit pas que des vins effervescents. Elle signe ici un 2001 rubis intense aux reflets violacés. Discret au nez, il a été retenu pou ...

Fondée en 1864 par Alfred Gratien, âgé seulement de vingt-trois ans, et reprise à sa mort, en 1885, par son associé Jean-Albert Meyer, cette maison saumuroise est bien connue pour ses effervescents. I ...

En 1964, Alfred Gratien fonda sa maison de vins à Saumur, alors qu'il n'avait que vingt-trois ans. A sa mort, Albert Meyer reprit l'entreprise qu'il rebaptisa Gratien et Meyer. Aujourd'hui, c'est un v ...

Un crémant de loire qui laisse une impression aérienne tant il est léger et discret. De sa robe jaune pâle se libèrent des notes florales et des nuances végétales, reprises en finale dans le registre ...

En 1864, Alfred Gratien fonde à vingt-trois ans sa maison de vins à Saumur. A sa mort, en 1885, Albert Meyer reprend la maison familiale et ce sont ses descendants, Alain et Gérard Seydoux, qui la gèr ...