DOMAINE DES CLOSSERONS Faye Cuvée Jeanne 2015 - blanc
Vin remarquable
Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc : L'avis du Guide Hachette des Vins 2018
Cette cuvée élevée dix-huit mois en fût de chêne fête une nouvelle naissance dans la famille Leblanc et ajoute deux étoiles à un palmarès déjà fourni. Le nez est encore dominé par les notes de vanille et de fumée, mais celles-ci sont très vite enrobées par de douces senteurs de confiture d'abricots. La bouche, encore sur sa réserve mais déjà très équilibrée et d'une grande élégance, laisse entrevoir un potentiel de garde évident : les sucres résiduels (165 g/l) assurent la puissance, bien contrebalancés par l'acidité naturelle du raisin. Une longue finale séveuse conclut la dégustation. Un grand vin à oublier quelques temps en cave.
Dom. Leblanc : Le vigneron
Vins de Coteaux-du-layon
Achetez vos vins de Coteaux-du-layon en vente privée avec 1Jour1Vin
Détail du vin Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc
Quelle note du Guide Hachette le vin Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc a-t-il obtenu ? Dans quelle édition a-t-il été noté ? Le Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc a obtenu la note de 2 étoiles, ce qui correspond à un vin remarquable. Ce vin a été noté dans l’édition 2018 du Guide Hachette Vins.
Combien de bouteilles de Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc ont-elles été produites ? 2 600 bouteilles de cette cuvée ont été produites.
Comment est élevé le vin Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc ? Ce vin est élevé en fût.
Quand est-il conseillé de boire le Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc ? Ce vin doit être dégusté de préférence entre 2020 - 2030.
À quelle température est-il recommandé de boire le vin Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc ? Nous recommandons de servir ce vin à une température comprise entre 08 à 10 °C.
Avec quel plat servir le vin Domaine Des Closserons Faye Cuvée Jeanne 2015 blanc ? Ce vin s’accordera parfaitement avec : soufflé au roquefort.
COMMENTAIRE