Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé :
L'avis du Guide Hachette des Vins 2014
Située à l'extrême sud de la Champagne, aux portes de la Bourgogne, la commune des Riceys est intéressante, tant par la beauté de son cadre que par son vignoble – le plus étendu de la région, planté essentiellement de pinot noir –, qui bénéficie d'une AOC supplémentaire, le rosé-des-riceys. Acquise en 1998 par le groupe devenu Lanson BCC, la maison auboise A. Bonnet s'appuie sur plus de 40 ha de vignes. Cette année, deux de ses cuvées reçoivent une étoile. Composée exclusivement de pinot noir, cette bien nommée Perle rosée est tout en élégance, avec ses bulles fines parcourant une robe d'un rose léger ; elle exhale un parfum discret de fruits rouges. Plutôt fraîche, gentiment enrobée, un peu fugace, sa bouche finit sur une agréable amertume qui rappelle le pamplemousse. Construite elle aussi sur le pinot noir (75 %, avec les deux autres cépages en appoint), la Grande Réserve (200 000 b.) apparaît jeune dans sa robe d'or pâle aux reflets verts ; une impression confirmée par le nez citronné et floral, et par la bouche fraîche, équilibrée et longue. Le blanc de noirs (100 000 b.) manque un peu d'ampleur pour un pur pinot noir, mais ses arômes de fruits confits et sa bouche fraîche lui valent une citation. (NM)
Détail du vin
Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé
Quelle note du Guide Hachette le vin Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé a-t-il obtenu ? Dans quelle édition a-t-il été noté ?
Le Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé a obtenu la note de 1 étoile, ce qui correspond à un vin très réussi.
Ce vin a été noté dans l’édition 2014 du Guide Hachette Vins.
Combien de bouteilles de Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé ont-elles été produites ?
100 000 bouteilles de cette cuvée ont été produites.
Comment est élevé le vin Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé ?
Ce vin est élevé en cuve.
À quelle température est-il recommandé de boire le vin Alexandre Bonnet Perle Rosée rosé ?
Nous recommandons de servir ce vin à une température comprise entre 08 °C.
Production :
100 000 bouteilles
COMMENTAIRE