Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc :
L'avis du Guide Hachette des Vins 2012
Acquis par la famille Grussaute en 1900, ce domaine s’est tourné vers la viticulture à partir de 1970. Après ses études de viticulture-œnologie, Jean-Marc, installé une vingtaine d’années plus tard, a quitté la coopérative avant de s’orienter vers le bio (certifié à partir du millésime 2010). Au Capcéu? «Au zénith», en béarnais. Cette cuvée de petit manseng, coup de cœur pour le millésime 2005, est une fois de plus superbe. La robe brillante, de couleur paille dorée, annonce un nez mûr, intense, profond et complexe: le raisin passerillé, le malaga, les fruits confits s’associent à des touches de grillé, de noisette (un an de fût) et à un trait de truffe blanche. L’attaque dévoile une belle liqueur concentrée et riche, et pourtant ce vin se montre incisif et tonique, grâce à sa fraîcheur qui souligne la longue finale. Une bouteille élégante qui sera parfaite sur des ris de veau aux cèpes, et qui se bonifiera pendant les trois ou quatre prochaines années. Issues des deux mansengs et du petit courbu, les cuvées La Virada 2009 sec (15 à 20 €; 3 000 b.), élevée sous bois, et La Part davan 2010 sec (11 à 15 €; 18 000 b.) obtiennent chacune une étoile.
Détail du vin
Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc
Quelle note du Guide Hachette le vin Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc a-t-il obtenu ? Dans quelle édition a-t-il été noté ?
Le Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc a obtenu la note de 2 étoiles, ce qui correspond à un vin remarquable.
Ce vin a été noté dans l’édition 2012 du Guide Hachette Vins.
Combien de bouteilles de Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc ont-elles été produites ?
8 000 bouteilles de cette cuvée ont été produites.
Comment est élevé le vin Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc ?
Ce vin est élevé en fût.
À quelle température est-il recommandé de boire le vin Camin Larredya Doux Au Capcéu 2009 blanc ?
Nous recommandons de servir ce vin à une température comprise entre 10 à 12 °C.
Production :
8 000 bouteilles
COMMENTAIRE